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À propos de Boutcha : quelques éléments glanés par notre camarade Bruno Drweski

mardi 5 avril 2022 par BD/ANC

Je ne vous demande pas de regarder la vidéo jointe à cet article car elle est très dure, le texte peut suffire. Elle peut être vue comme une tentative de réponse aux accusations faites avec l’événement de Boutcha. Il n’en reste pas moins que nous sommes dans une guerre de manipulation de l’émotionnel et de l’irrationnel, ce qui exige de la part de ceux qui gardent leur sentiment à sa place et leur raison à sa place de prendre un maximum de recul par rapport aux événements « présentés à la télé ».

...Une vieille méthode d’analyse du réel quand on vous présente une information invérifiable ou une vidéo/photo par principe manipulable, c’est de commencer par poser la question « Cui Bono ? » ou « Dans l’intérêt de qui ? », car, dans une guerre, à part les cas d’armées mal contrôlées ou programmées idéologiquement pour tuer dans une guerre d’invasion visant à l’extermination d’une population, les comportements des armées sont explicables rationnellement ; malgré les « bavures » habituelles.

Ces gens combattent pour gagner. Et gagner aujourd’hui, c’est aussi gagner la bataille de l’information. Donc ne pas faire ce qui la gênerait. Donc la plupart des massacres imputés lors des guerres depuis la yougoslave et depuis Timisoara sont restés invérifiés et, quand ils ont été vérifiés, non publiés, et quand ils ont été publiés, soit ils n’ont pas eu lieu, soit le nombre des victimes était moins important, soit les choses ne se sont pas déroulées de la façon qui a été diffusée auparavant, les responsabilités pouvant être plus éparpillées ...

Avec quelques exceptions style Daech ! ...Alors, en Ukraine, avons nous affaire d’un côté ou de l’autre à des groupes armés style Daech ? C’est sans doute le cas effectivement ici ou là, mais il faut les localiser et ne pas généraliser !

Les récits de massacre imputables à l’adversaire sont donc souvent imputables aux auteurs de ces récits eux-mêmes, les « false flags », ce que les personnes avisées ont pu analyser lors de tous les conflits des dernières trente années.

Sauf dans le cas de bandes armées incontrôlées. Donc prudence avec les « pro-ukrainiens » et prudence avec les « pro-russes » ...
Soyons justes et raisonnables.

BD-ANC

Photo  : Peinture de Otto Dix


Chronique du nazisme contemporain : Slava Ukraïna !

POUR INFORMATION DE M. MACRON ET DE NOTRE CLASSE DIRIGEANTE EUROPÉENNE, COMPLICES DE CES CRIMES DE GUERRE.

ATTENTION CES IMAGES
SONT VIOLENTES
ET CHOQUANTES
déconseillées aux mineurs et
personnes sensibles
... mais authentiques hélas, et édifiantes dans l’horreur et l’idéologie qu’elles attestent "sans fard", c’est pourquoi en dépit de notre répugnance à diffuser ce genre d’image, nous publions ce bref extrait.

Exécution de prisonniers de guerre russes par des combattants ukrainiens et géorgiens le 30 mars 2022 (voir sur le site pour ceux qui le souhaitent...)

Car, contrairement à celles qui semblent avoir ému nos médias et dirigeants occidentaux, il ne s’agit pas ici d’une vidéo mise en scène, avec des cadavres judicieusement positionnés au même endroit, le visage renversé comme à Bucha. C’est une véritable vidéo "spontanée", d’une véritable exécution de prisonniers de guerre, par des militaires ukrainiens secondés par des "frères nationalistes" georgiens venus en renfort. Certains avaient les mains liées dans le dos, un soldat est clairement achevé dans la vidéo, tandis que les exécuteurs fanfaronnent et rigolent ...

Ce crime, parmi beaucoup d’autres perpétrés par les Nazi-ukrainiens, depuis plus de huit années, a eu lieu le 30 mars près d’Irpen , lors du retrait annoncé des troupes russes.

Le retrait russe de la proximité de Kiev a été décidé et annoncé, puis réalisé le 30 mars 2022, par le Kremlin comme symbole de bonne volonté et de contribution au processus de négociation. Tous les acteurs et les populations concernés en furent informés.

Le monde entier peut observer le résultat.
Il a été observé, avéré documenté et certifié que les forces armées ukrainiennes ont bombardé des zones peuplées à la fois pendant la retraite des Russes et après que toutes les unités russes se soient retirées à plusieurs kilomètres.
Le SBU et les formations nationalistes ont "nettoyé" les localités, liquidant les civils suspectés d’avoir "collaboré" avec les Russes. Trois jours plus tard, le 3 avril, des civils assassinés portant des brassards blancs, signe de "collaboration" avec les Russes, ont été abattus et ensuite donnés en spectacle comme des victimes de l’occupation russe. voir : notre article

L’Occident a pourtant soutenu avec enthousiasme (et indignation) cette mascarade répugnante, et feint d’ignorer les preuves flagrantes de l’imposture, comme les témoignages incontestables de crimes de guerre avérés et documentés ... crimes perpétrés ouvertement par des fascistes ukrainiens.


Le massacre de Boutcha

par Jason Michael McCann

Hier (3 avril 2022), Oleksiy Arestovych, conseiller principal du président ukrainien Volodymyr Zelenskyy, qui fait régulièrement le point à la télévision sur l’évolution de la guerre, est apparu sur UA-TV - Ukrinform, le radiodiffuseur d’État ukrainien - pour informer le public de l’effroyable massacre de civils dans les villes de Boutcha, Irpin et Hostomel, au nord-ouest de Kiev.

Les forces russes, conformément aux engagements pris lors du dernier cycle de négociations, se sont retirées de cette zone de l’Oblast de Kiev, permettant aux forces armées ukrainiennes de reprendre le contrôle de ces villes. Tard dans la soirée de samedi, des images ont commencé à circuler de ce qu’Arestovych a décrit comme un "film d’horreur post-apocalyptique" - jusqu’à trois cents corps de civils ukrainiens assassinés jonchant les rues publiques, les caves et les tombes peu profondes.

Dans The Kyiv Independent, Olga Rudenko a écrit dans un article publié à 2h21 du matin (le 3 avril) que dès que les forces russes ont commencé à se retirer de la zone, " des photos et des vidéos horribles ont commencé à affluer " qui " semblaient prouver que les forces russes avaient procédé à des meurtres ciblés et organisés de civils à Boutcha ".

À onze heures et demie du matin, Valentyna Romanenko donnait plus de détails sur ces atrocités dans l’Ukrayinska Pravda, dans un article intitulé : "Vous vouliez un autre Srebrenica ?", établissant un lien entre ces crimes et le génocide de huit mille hommes musulmans bosniaques en 1995 en Bosnie.

Citant Mykhailo Podoliak, le conseiller du chef du bureau présidentiel, qui avait déclaré que parce que le monde occidental ne voulait pas provoquer la Russie, il a obtenu l’horreur totale et indicible de l’inhumanité à Boutcha, Irpin et Hostomel :

  • Des centaines, des milliers de personnes assassinées, mutilées, violées, ligotées, violées à nouveau et ensuite tuées. Des centaines, des milliers de civils ukrainiens. Assassinés avec une brutalité particulière.

Les photos publiées sur les pages des médias sociaux de Podoliak et dans les journaux de tout le pays ont confirmé ces scènes apocalyptiques de brutalité sauvage. Des personnes exécutées contre des murs, les mains attachées dans le dos, des corps étendus sur la voie publique dans toute la ville de Boutcha, des membres sortant de ce qui semble être des fosses communes. Des restes carbonisés drapés sur les débris tordus de véhicules et de matériel détruits et calcinés, des mains recouvertes de vernis à ongles et des visages ensanglantés par de multiples blessures par balle.

L’horreur était là pour que le monde entier la voie. Deux heures entières avant que les médias ukrainiens n’en parlent, Louise Callaghan avait publié l’histoire complète sur l’édition en ligne du Sunday Times en Grande-Bretagne, et à cinq heures du matin, l’article de Wikipédia était en ligne : "Le massacre de Boutcha fut un massacre de civils dans la ville ukrainienne de Boutcha par les troupes russes engagées dans l’invasion de l’Ukraine en 2022".

Tous les faits étaient établis.

Les habitants d’Europe occidentale auraient tous les détails, toutes les photos gores et le nombre de fois que chaque victime avait été violée avant d’être abattue avant d’aller se coucher et en Ukraine, ce serait juste à l’heure du petit-déjeuner. Non seulement cette histoire serait le sujet d’actualité du jour - saturant tous les bulletins d’information de Los Angeles à Berlin, cette histoire serait le fait du jour.

Mais c’est une histoire étrange.

Il ne manque pas de preuves photographiques du résultat. Personne ne peut contester que des centaines de civils ont été massacrés dans les rues de leurs villes. Nous pouvons tous le voir. Nous savons que cela s’est produit. Pourtant, depuis le début de ce conflit, les médias ont souligné que cette guerre se déroulait dans le "monde civilisé".

Chaque moment de cette guerre est filmé par des gens ordinaires. Il n’y a pas une seule vidéo de ce crime massif, pas un seul cliché, pas une seule mise à jour des médias sociaux, pas un seul SMS, rien.

La première fois que quelqu’un, où que ce soit, entend parler de ce crime honteux et très public, c’est lorsqu’il est publié dans les journaux. À Mariupol, une ville entièrement encerclée par les forces russes, les habitants utilisent Skype pour contacter les médias en Grèce.
Même dans le sud et l’est du pays occupés par les Russes, les citoyens ordinaires filment ce que font les Russes et ce que les forces ukrainiennes font aux Russes.

Cependant, à quelques kilomètres au nord de Kiev, au cours d’une attaque horrible et soutenue contre la population civile, nous n’avons rien d’autre que le silence jusqu’à ce que la presse publie l’histoire.

C’est étrange.

Il y a quelque chose de plus étrange encore.
La couverture médiatique nous donne l’impression que les soldats ukrainiens qui avancent dans ces villes satellites de Kiev sont confrontés à cette horreur. La plupart des photos que nous avons montrent clairement la nature publique de ces crimes. Quiconque se rendait à Boutcha allait voir la scène du crime. Rien de tout cela n’était caché.

C’est exactement ce que Rudenko avait écrit : dès que les forces russes ont commencé à se retirer de la région, des photos et des vidéos horribles ont commencé à affluer. On peut donc supposer que les forces russes ont commencé à se retirer de Boutcha en fin de soirée le samedi 2 avril et que les photos ont commencé à affluer vers Rudenko et ses collègues de The Kyiv Independent peu de temps après.

Mais non, ce n’est pas ce qui s’est passé.

Les forces russes ont commencé à quitter Boutcha Irpin et l’Hostomel dans l’après-midi du mercredi 30 mars, soit trois jours avant que ces horribles vidéos et images ne commencent à "affluer" dans les médias ukrainiens.

Les militaires russes avaient entièrement quitté la ville de Boutcha à 16 h 31 le 1er avril, car c’est à ce moment-là qu’Anatoliy Fedoruk, le maire de Boutcha, s’est tenu devant l’hôtel de ville et a déclaré la "libération" de la ville et l’a publié sur la page Facebook officielle du conseil municipal de Boutcha.

Il va donc de soi que les survivants du massacre et les soldats ukrainiens qui arrivent auraient vu les scènes horribles dans les rues et les auraient signalées - mais non. En fait, M. Fedoruk ne dit rien des corps qui jonchent les rues dans son discours de libération en ligne.
Ce n’est que vingt-quatre heures plus tard qu’un massacre est porté à l’attention de la presse.
Étrange.

Il est clair que nous avons quelques heures à remplir ici. Les Russes partent dans l’après-midi du 30 mars, aucun rapport sur un massacre ne provient de la ville - pas même du maire qui est effectivement à Boutcha le 1er avril, et puis le soir du 2 avril, nous avons un massacre.

Cela fait plus de soixante-douze heures que personne ne signale un massacre et que les forces ukrainiennes contrôlent la ville. Le maire est en ville et les habitants retournent dans les rues, et personne - personne - ne parle de massacre. Il y a peut-être une ou deux vidéos, prises par des personnes traversant la ville en voiture, dans lesquelles des corps sont visibles sur la route. Mais il n’y en a peut-être que trois ou quatre, et c’est une zone de guerre active. Il est difficile d’associer ces vidéos aux images ultérieures de massacres à grande échelle.

Selon le New York Times, dont le photojournaliste Daniel Berehulak était sur le terrain, l’une des premières unités ukrainiennes à entrer dans Boutcha était le bataillon ultra-nationaliste Azov. Lors d’un déplacement avec le bataillon Azov, on peut lire le commentaire accompagnant la photo :

  • Des soldats ukrainiens du bataillon Azov marchent parmi les restes d’un convoi militaire russe dans la ville de Boutcha, récemment libérée, samedi, juste à l’extérieur de la capitale après le retrait des Russes. Les habitants des environs ont pris la nourriture distribuée par les soldats ukrainiens. Beaucoup n’ont pas reçu de nourriture, ni d’électricité ou de gaz pour cuisiner, depuis plus d’un mois. Des résidents plus âgés se tiennent près d’un corps abandonné sur le trottoir.

Pendant toute la matinée du 2 avril, il y avait des cadavres, mais pas assez pour suggérer qu’un massacre avait eu lieu. Le New York Times ne fait aucune mention d’un massacre de civils - et il a accès à la ville et aux habitants. La détresse est évidente et les gens, en particulier les personnes âgées et les infirmes, souffrent énormément. Mais il n’y a aucune indication d’un massacre, avec charniers, sites d’exécution, victimes de viols, etc.

Non, tout cela est absent. Nulle part dans la ville, Berehulak n’a la moindre indication d’un massacre de la population civile et, étant donné sa haine idéologique des Russes, on pourrait penser que si une telle chose était connue ou même si une rumeur circulait, les soldats du bataillon Azov n’auraient été que trop heureux de la partager.

Une chose très intéressante se produit alors le 2 avril, quelques heures avant qu’un massacre ne soit porté à l’attention des médias nationaux et internationaux.

Le site en ligne de l’Institut Gorshenin, financé par les États-Unis et l’Union européenne, Лівий берег, annonce que :

  • Les forces spéciales ont commencé une opération de nettoyage dans la ville de Boutcha dans la région de Kiev, qui a été libérée par les forces armées de l’Ukraine. La ville est en train d’être débarrassée des saboteurs et des complices des forces russes.

L’armée russe a maintenant complètement évacué la ville, ce qui fait penser à des représailles.
Les autorités de l’État parcourent la ville à la recherche de "saboteurs" et de "complices des forces russes". La veille encore, Ekaterina Ukraintsiva, représentante de l’autorité municipale, est apparue dans une vidéo d’information sur la page Telegram de Boutcha Live, vêtue d’un treillis militaire et assise devant un drapeau ukrainien, pour annoncer " le nettoyage de la ville ".

Elle a informé les habitants que l’arrivée du bataillon Azov ne signifiait pas que la libération était achevée (mais elle l’était, les Russes s’étant totalement retirés) et qu’un "nettoyage complet" devait être effectué. Avant de signer, elle a demandé aux habitants de rester dans leurs abris et de ne pas circuler dans les rues.
Soit dit en passant, ce message a été diffusé sur les médias sociaux. Cela met fin à l’idée que les témoins des massacres qui auraient été commis par les Russes ne pouvaient pas communiquer avec le monde extérieur. Ils le pouvaient, et nous avons de nombreuses preuves de discussions en ligne au sein de Boutcha pendant cette période - seulement, nous n’avons aucune preuve d’un massacre.

À ce stade, quelque part dans l’après-midi et en début de soirée du samedi 2 avril, les troupes du bataillon Azov et les forces spéciales du régiment SAFARI se trouvent à l’intérieur de la ville et mènent une opération spéciale de ratissage à la recherche de saboteurs et de complices. On dirait bien que quelques civils vont être tués.

À partir de ce moment, il y a une absence presque totale de sources à l’intérieur de Boutcha, sauf une.
Tous les autres habitants de la ville ont reçu l’ordre de quitter les rues et ont été informés qu’une opération militaire allait avoir lieu autour d’eux. Ils doivent s’attendre à de nouveaux tirs.
Puis une source supplémentaire, la seule source de la fenêtre temporelle entre le début de l’opération de ratissage et la nouvelle d’un massacre arrivant dans les médias : Sergiy Korotkikh, chef de la défense territoriale nazie à Boutcha, a partagé sur Telegram une courte vidéo de trente secondes montrant des troupes du bataillon Azov marchant dans une rue déserte et un fragment de conversation :

  • Ces gars-là, sans brassard bleu, on peut leur tirer dessus ?
  • Bien sûr, putain !

C’est tout.
Ce que nous savons ensuite, c’est qu’il y a eu un massacre. Toutes les preuves vidéo et photographiques sont à Londres, Berlin, New York et Washington à la tombée de la nuit et des images horribles affluent dans les bureaux des médias ukrainiens à Kiev.

Les faits sont tous connus et une page Wikipedia est en ligne dès que la presse publie l’histoire. Il s’agit d’un crime massif contre la population civile perpétré par l’armée russe.
Mais l’armée russe est partie plusieurs jours auparavant, aucune enquête médico-légale ou juridique n’a pas été menée et il n’y a pas un seul témoin oculaire.

Mais qui a besoin d’une procédure en bonne et due forme quand on est en guerre ?


Quelques informations d’agences d’une certaine importance qui sont passées inaperçues des grands médias :

(BD-ANC)

J18.45 Le Pentagone déclare que l’armée américaine n’a pas de confirmation indépendante des rapports sur les événements de Boutcha.

16.40 Les émissions des chaînes de télévision Pyatiy et Pryamiy, anciennement détenues par l’ex-président Petro Poroshenko, ont été coupées en Ukraine.

16.00 Les dirigeants communautaires de Marioupol reconnaissent le référendum sur l’indépendance organisé dans la région de Donetsk en 2014.

15.55 A Marioupol, les dirigeants communautaires ont désigné un nouveau maire lors d’une réunion. Konstantin Ivashchenko, qui a dirigé l’usine Azovmash pendant de nombreuses années, est devenu le nouveau maire.

14.20 L’Autriche s’opposera à l’embargo sur le gaz russe – Ministère des affaires étrangères.

13.40 Angela Merkel considère que la décision prise par l’Allemagne en 2008 de ne pas soutenir l’idée d’une adhésion de l’Ukraine à l’OTAN était correcte, a déclaré un porte-parole de l’ancienne chancelière à l’agence de presse DPA.

13.30 Lors d’une réunion avec le secrétaire général adjoint de l’ONU, M. Lavrov a déclaré qu’avait été opérée une mise en scène lorsque les militaires russes sont sortis de la ville de Boutcha. Selon le ministre russe des Affaires étrangères, cette provocation est utilisée à des fins anti-russes. Moscou voit dans ces provocations une menace directe pour la sécurité internationale, a souligné le ministre.

13.10 Les civils de Boutcha décrétés collaborateurs des Russes ont été abattus par des membres d’Azov commandés par Serhiy “Botsman” Korotkiy, selon Aleksandr Kots, correspondant militaire de la Komsomolskaya Pravda.

12.05 Le 4 avril à midi, la Bourse de Moscou propose 83,05 roubles par dollar (1,85 rouble de moins qu’à l’ouverture) et 91,8 roubles par euro. La monnaie européenne a chuté de 65 kopecks.

10.15 Le dollar a augmenté de 0,68% à 84,52 RUB à l’ouverture des échanges, l’euro a augmenté de 1,09% à 94,00 RUB. Le marché boursier est en hausse de 2,07 %.

9.25 Le transit du gaz russe par l’Ukraine le 4 avril devrait être proche des engagements contractuels maximums de Gazprom, soit 108,35 millions de mètres cubes.

6.30 La société lettone Latvijas Gāze étudiera la possibilité de payer le gaz russe en roubles et pense que cela ne violerait pas les sanctions anti-russes – société.

   

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